CHLEM : à propos d'histoire
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Histoire locale de Leval-Trahegnies, Epinois et Mont-Sainte-Aldegonde
 
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 Les dernières tribulations d'Adolf

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aricover
insatiable



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Localisation : Brabant flamand
Date d'inscription : 07/11/2007

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MessageSujet: Les dernières tribulations d'Adolf   Les dernières tribulations d'Adolf EmptyLun 10 Mai 2010 - 10:16

Un peu avant l'anniversaire des 65 ans de la fin de la Seconde guerre, un article paru le 3 mai sur Nieuwsblad .be - Auteur: (WER)nous apprend:

Un agent russe du KGB à la retraite révèle qu’il a en 1970, sur les ordres de ses supérieurs, brûlé les restes d'Adolf Hitler.
Vladimir Gumenyuk, ex-agent du KGB et âgé de 73 ans, ne veut pas dire où la crémation a eu lieu car il craint que les néo-nazis de ce lieu n’en fasse un pèlerinage.

Gumenyuk déclare qu'il est le dernier des trois agents encore en vie qui ont dû déterrer, en 1970, les cadavres d'Hitler et de sa bien-aimée Eva Braun en même temps que de ceux de Joseph Goebbels et sa famille tout près de la ville est-allemande de Magdebourg. Nous avions reçu alors les coordonnées de la tombe commune dans le plus grand secret.
" Nous avons dû disperser les cendres sur une falaise près de cet endroit. Personne n'a rien vu“, raconte l'ex membre du KGB, qui s’est fait passer, ainsi que ses collègues, pour des pêcheurs pour ne pas éveiller les soupçons des voisins. “La corvée en vingt secondes ; ce fut le dernier vol du Führer. "

Bien qu'on lui ait fréquemment offert beaucoup d'argent pour révéler l’endroit de la dispersion des cendres, le Russe refuse toujours de révéler la place. "il y aurait bien vite quelqu'un qui irait y ériger un monument", dit encore Gumenyuk.
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Filsix
Rang: Administrateur
Filsix


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Localisation : Leval
Date d'inscription : 03/04/2005

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MessageSujet: Re: Les dernières tribulations d'Adolf   Les dernières tribulations d'Adolf EmptySam 12 Juin 2010 - 17:32

J'ai découvert ceci sur Wikipédia, encyclopédie libre bien connue sur le WEB.

Je possède entre-autre le livre de "Bernd Freytag von Loringhoven : Dans le Bunker de Hitler ; 23 juillet 1944 - 29 avril 1945 ed PERRIN". Je suis en train de le lire.



Citation :
Découverte du corps et rumeurs de fuite

Nombre de rumeurs ont circulé sur la possibilité que Hitler ait survécu à la fin de la guerre. Le FBI a mené des enquêtes en ce sens jusqu’en 1956 sur des pistes plus ou moins sérieuses. Mais dès la chute de Berlin, l’unité des services secrets soviétiques chargée de trouver Hitler, le SMERSH, estimait avoir récupéré une grande partie du corps.
Le 2 mai 1945, averti du suicide de Hitler, le SMERSH boucle le jardin de la chancellerie et le Führerbunker. Le personnel encore présent est arrêté puis interrogé, Staline étant tenu au courant par un général du NKVD au moyen d’une ligne codée directe (1).
Le 5 mai, Ivan Churakov du 79e corps d’infanterie, auquel le SMERSH est rattaché, découvre le corps de Hitler près de celui d’Eva Braun, dans un cratère d’obus situé dans le jardin de la chancellerie. Conformément aux volontés du Führer, leurs dépouilles ont été brûlées et sont méconnaissables (1).

Le 11 mai, les témoignages concordants de l’assistante du dentiste d’Hitler, Hugo Blaschke, et de son technicien, confirment l’identité du corps. La dentition supérieure de Hitler comporte en effet un bridge récent. Dans un premier temps, Staline impose le silence sur la découverte, allant même jusqu’à réprimander Joukov pour avoir échoué à retrouver Hitler, tandis que la Pravda qualifie les rumeurs de découverte de « provocation fasciste ». Les Soviétiques lancent d’autres rumeurs, affirmant notamment que Hitler se cacherait en Bavière, zone sous contrôle de l’armée américaine, accusant implicitement cette dernière de complicité avec les Nazis (1).
En juin 1946, les derniers témoins du Führerbunker, détenus par le NKVD, sont amenés sur les lieux du suicide. Dans le jardin de la chancellerie, ils indiquent l’endroit où ils ont brûlé puis enterré les corps des époux Hitler. L’emplacement correspond à l’exhumation réalisée par le SMERSH un an plus tôt. De nouvelles fouilles sont entreprises et quatre fragments de crâne sont mis au jour. Le plus grand est transpercé d’une balle. L’autopsie réalisée fin 1945 sur le corps masculin découvert au même endroit se trouve en partie confirmée : les médecins y notaient en effet l’absence d’une pièce du crâne, celle qui devait permettre de conclure que Hitler s’est suicidé par arme à feu.
Les restes d’Adolf Hitler sont alors enterrés dans le plus grand secret, avec ceux d’Eva Braun, de Joseph et Magda Goebbels et de leurs six enfants, du Général Hans Krebs et des deux chiens d’Hitler, dans une tombe près de Rathenow à Brandenburg (2).
En 1970, le KGB doit restituer au gouvernement d’Allemagne de l’Est les lieux qu’il occupe à Brandenburg. Craignant que l’existence de la tombe de Hitler ne soit révélée et que le site ne devienne alors un lieu de pèlerinage néo-nazi, Youri Andropov, chef du KGB, donne son autorisation pour que soient détruits les restes du dictateur et les neuf autres dépouilles (3,4).
Le 4 avril 1970, une équipe du KGB se charge de la crémation des dix corps, et disperse secrètement les cendres dans l’Elbe, à proximité immédiate de Rathenow (5). Mais le crâne et les dents de Hitler, conservés dans les archives moscovites, échappent à la crémation. On n’en apprend l’existence qu’après la dissolution de l’URSS (1991). Le 26 avril 2000, la partie supérieure du crâne attribué au dictateur devient l’une des curiosités de l’exposition organisée par le Service fédéral des archives russes, marquant le cinquante-cinquième anniversaire de la fin de la guerre.
Mais, en 2009, à la demande de la chaîne de télévision History qui réalise un documentaire intitulé Hitler’s Escape, qui traite de l’hypothèse de la fuite du dictateur, l’Américain Nick Bellantoni découvre que le crâne que l’on attribuait à Hitler est en réalité celui d’une jeune femme. Des tests ADN réalisés aux États-Unis sur les échantillons ramenés par l’archéologue confirment ses dires (6). Selon Nick Bellantoni, le crâne ne serait pas non plus celui d’Eva Braun. Les témoignages affirment qu’elle se serait suicidée au cyanure, et non par arme à feu. Ce coup de théâtre relance les théories affirmant que Hitler a pu survivre à la chute du Reich.
L’historien Antony Beevor regrette ces polémiques, qu’il juge sensationnalistes, rappelant que la dentition, avec son bridge caractéristique, a été formellement reconnue en mai 1945 par Käthe Heusermann, assistante du dentiste de Hitler64, et son technicien Fritz Echtmann, arrêtés par les Russes. Mais les archives dentaires de Hitler ayant été détruites sur ordre de Martin Bormann en 1944, donc antérieurement aux investigations russes, le témoignage d’Heusermann n’est basé que sur sa mémoire, comme le souligne le journaliste britannique Gerrard Williams, qui rappelle qu’il n’existe à ce jour aucune expertise médico-légale attestant qu’il s’agisse bien des dents de Hitler (7).
Ces théories de la fuite du führer restent peu crédibles et se heurtent aux témoignages des dernières heures, qui concluent à la mort du dictateur nazi. En 2009, le dernier survivant du bunker, Rochus Misch, réaffirme ainsi avoir vu les corps sans vie de Hitler et d’Eva Braun ( 8 ).


1 ↑ a, b, c et d Antony Beevor, Hitler’s jaws of death, article paru dans IHT et NYT le 11 octobre 2009, pages op-ed
2 ↑ (en) [V.K. Vinogradov and others, Hitler's Death: Russia's Last Great Secret from the Files of the KGB, Chaucer Press 2005, 111. Ces travaux s’appuient sur une carte soviétique, indiquant que les corps se trouvaient dans un champ près du village de Neu Friedrichsdorf, à environ un kilomètre à l'est de Rathenow].
3 ↑ Ada Petrova, The Death of Hitler: The Full Story With New Evidence from Secret Russian Archives, W W Norton & Co Inc, 1995, ISBN 0-393-03914-5.
4 ↑ (en) Later Russian disclosures [archive] (23 novembre 2008).
5 ↑ Hans Meissner, Magda Goebbels, First Lady of the Third Reich, 260–277.
6 ↑ (en) Tests on skull fragment cast doubt on Adolf Hitler suicide story [archive] (27 septembre 2009)
7 ↑ (en) 'Hitler’s Skull' Is A Woman’s, Say DNA Tests [archive] (28 septembre 2009).
8 ↑ (en) Rochus Misch, I was in Hitler’s suicide bunker, BBC [archive] (3 septembre 2009).


Voici aussi d'autres sources sur ce sujet :
Russian who 'cremated' Adolf Hitler refuses to reveal where he scattered his ashes
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http://users.skynet.be/judo_msa
 
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